Modérateurs: Heikki-spirit, noux, Drool1, HAD RF1
birdule a écrit:je suis étonné de voir qu'il y aura des modifs aéro pour la malaisie, généralement quand il n'y a qu'une semaine on ne change rien... peut être l'aileron arrière de mclaren...
Drool1 a écrit:En qualif il est a chier, ne tiens pas la pression, ca c clair! Il doit bosser la dessus, et faire direct des tours rapides en tendre
Ensuite en course il a un gros rythme, fait des bons depart! En fait c un peu l'inverse de Grosjean
A barhein il y pouvait rien, la c sa faute mais bon les slicks avec la pluie c dur, d'autres sont passé par les gravier, lui il y est arrivé a l'enver il aurait du laisser filer et en ressortir mais bon, il debute.
Va falloir rallier l'arrivé au prochain GP par contre, c large comme piste, il doit le faire
buggyboy a écrit:Nico Marlyn a écrit:buggyboy a écrit:bon finalement Petrov ou piquet c blanc bonnet bonnet blanc
Ca, ca sent le gars qui ne fait que lire le classement du pilote en fin de course pour se faire un avis....
ah non mec.
Mais si tu considère que faire des bons départs c'est être un bon pilote, c'est que tu as rien compris...
Petrov pour le moment est largué en qualif (et le mot est faible par rapport à Kubica), et en course il abandonne 2 fois par sa faute
ouai pour moi il vaut pas grand chose, il faut un meilleur second pilote dans la R30.
Robert Kubica, Renault
2009 Qualifying - 8th, 2009 Race - DNF
“I don’t think it will be an ideal circuit for us, but on the other hand we discovered in Australia that the car performs better in warmer conditions and the heat in Malaysia might help us. It’s a demanding track because there are lots of different corners and it’s so wide that it gives you the confidence to really push and find the limits. Recently the high-speed corners haven’t been too challenging, but I think they will be more demanding this year with the heavier fuel loads. There’s also a high risk of rain storms, and with the race starting late on Sunday afternoon, we could have another wet race.”
Vitaly Petrov, Renault
2009 Qualifying - n/a, 2009 Race - n/a
“The car is generally well balanced, consistent and stable in the corners, which makes it an easy car to drive, but we still need more overall downforce to get closer to the front. There will be some more aero updates on the car in Malaysia, which should give us a bit more performance.
“It’s a track I know already from GP2 so I won’t have to spend time learning the circuit on Friday, which means I can concentrate more on finding a good set-up and evaluating the tyres. I really hope I can finish the race, which has to be my target because it’s important for me to get more miles in the car and experience a full race distance. Robert’s result in Melbourne has shown the car has potential and hopefully I can score my first points soon.”
Steve Nielsen, Renault sporting director
“As a team we have enjoyed some good races there, including a one-two in 2006, so it’s somewhere we return to with fond memories. It’s also a track that produces good racing and there are some decent overtaking opportunities. The climate means there’s a good chance of heavy rain showers, which may only last for a few seconds, but completely soak the circuit. It’s another factor we have to take into consideration and it has created some exciting races in the past.”
Renault, de la joie australienne au défi de Sepang
Interview avec le directeur sportif de Renault F1, Steve Nielsen
lundi 29 mars 2010 - 14h31, par Franck Drui
Steve, le Renault F1 Team a décroché son premier podium de la saison à Melbourne. Exactement ce qu’il fallait pour débuter la saison du bon pied…
C’est vraiment un super résultat, et il était plutôt inattendu compte tenu de nos positions sur la grille de départ. Il n’y pas de honte à dire que nous avons eu un peu de chance, mais c’est un juste retour des choses après la malchance qui nous a frappé à Bahreïn. Le résultat de Melbourne, au final, est une magnifique récompense pour l’équipe, qui a énormément travaillé, à l’usine comme sur la piste, ces dernières semaines.
La course a été très animée. Etait-il difficile de prendre les bonnes décisions au bon moment, sur le muret des stands ?
La décision la plus importante à prendre concernait le moment de passer les pneus pour le sec. Cela dit, Button a été le premier à le faire et nous observions ses chronos avec attention. Lorsque nous avons vu qu’il était le plus rapide dans le deuxième secteur, nous savions que c’était le moment pour nous de ravitailler. Après cela, l’essentiel pour Robert était de contrôler les voitures derrière lui, potentiellement plus rapides, et d’économiser ses pneumatiques. Il l’a fait brillamment.
Etiez-vous totalement confiant sur le fait que les pneus puissent aller jusqu’au bout de la course ?
Avant le départ, je n’aurais jamais pensé que le pneu tendre pourrait encaisser 50 tours sans broncher. Cela dit, la manière dont la course s’est déroulée ne nous a pas laissé le choix : nous devions faire en sorte que les gommes aillent jusqu’au bout. Si nous avions réalisé un deuxième arrêt, nous aurions sombré dans le classement.
La course de Vitaly, malheureusement, a été écourtée. Comment s’est passé son deuxième week-end en F1 ?
La performance était là dès les essais libres et il a pris un excellent départ. C’est vraiment dommage que sa course ait été aussi courte. J’espère qu’il verra le drapeau à damiers en Malaisie car, s’il y parvient, il sera sûrement dans les points.
Quel a été le retour des pilotes à propos des évolutions techniques apportées sur la voiture en Australie ?
Il a été globalement positif. Ces développements ont procuré le surcroît de performance envisagé et leur apport sur la piste était en corrélation avec les simulations de l’usine. Robert et Vitaly pensent que nous allons dans la bonne direction, même si les températures plus basses à Melbourne ont eu un impact sur les performances de la voiture. Toute l’équipe a énormément travaillé pour incorporer ces nouveautés et nous devons poursuivre à ce rythme, l’objectif était d’avoir des développements sur la voiture à chaque course.
Il y aura donc des nouveautés en Malaisie ?
Oui. De nouvelles pièces aérodynamiques feront leur apparition à Sepang, puis sur les courses suivantes. Notre performance devrait donc s’améliorer à chaque rendez-vous.
Le Grand Prix de Malaisie aura lieu une semaine seulement après celui d’Australie. Quels défis logistiques impose le calendrier ?
Nous avons dû quitter l’Australie aussi vite que possible et être prêts dès mercredi dans le garage de Sepang. Le public ne réalise pas toujours que 10 heures de travail nous attendent lorsque le drapeau à damier s’abat sur une course. En Australie, la course s’est terminée à 18h30, ce qui signifie que l’équipe a terminé la préparation des containers vers 4h00 du matin lundi. Après quelques heures de sommeil, les garçons ont embarqué pour la Malaisie, où l’équipe devra travailler dès mardi après-midi. Le plus gros défi pour nous, c’est la charge de travail intense pendant ces quelques jours : on ne fait que travailler ou dormir, rien d’autre.
A quel moment est-ce que le frêt arrivera à Sepang ?
Heureusement, la FOM s’occupe de l’acheminement du matériel pour toutes les équipes. Le matériel devrait arriver mardi midi sur le circuit.
Est-il réellement difficile de travailler dans les conditions chaudes et humides de la Malaisie ?
C’est un environnement difficile. Je crois qu’on peut dire que la capacité de travail de chacun est revue un peu à la baisse car il faut s’acclimater. Le plus important, pour les mécaniciens, c’est de s’hydrater en permanence. Il faut boire beaucoup pour éviter tout risque de déshydratation car la chaleur peut vraiment être intense dans le garage. Nous allons consommer environ deux fois plus de bouteilles d’eau que sur un Grand Prix Européen traditionnel, et nous utiliserons également beaucoup de boissons isotoniques comportant des sels minéraux. Tous les ans, au moins une personne oublie de boire assez et se sent malade. Nous devrons donc faire très attention.
Quel est le confort de travail sur le circuit de Sepang ?
Nous nous rendons sur ce circuit depuis 1999 et, bien que l’endroit semble un peu vieillot par rapport aux nouveaux circuits, le standard reste assez élevé. Nous avons disputé de très belles courses à Sepang, réalisant notamment le doublé en 2006. Nous y revenons donc avec de bons souvenirs. Sepang est une piste qui permet généralement d’assister à des courses disputées car elle offre quelques possibilités de dépassement. Les chances de pluie sont élevées. Les averses ne durent parfois que quelques secondes, mais elles sont suffisantes pour noyer tout le circuit. C’est un facteur à prendre en considération et qui a donné naissance à de très belles courses par le passé.
aifol a écrit:Par contre la voiture médicale qui suit le départ sans attendre ceux qui démarrent des stands c'est assez moyen...
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