.:: GP de Hongrie 2012 ::. - Le circuit :
A 19 km au nord de Budapest, le Hungaroring a été de 1986 à 89 une anomalie capitaliste derrière le "rideau de fer" communiste. Un tourniquet sans intérêt, si ce n'est celui d'offrir une vue imprenable sur la quasi-totalité du tracé.
En 2003, le morceau de ligne droite fut rallongé de 250 m pour garnir de dépassements la traditionnelle procession dominicale. Une réussite.
La saleté est la première particularité du Hungaroring, qui souffre de l'absence de tradition automobile. 30 km/h seulement plus rapide que Monaco, il fait donc la part belle aux qualités de motricité, d'appui aérodynamique des voitures mais aussi de vivacité dans ses chicanes rapides.
Les enchaînements soutenus et la chaleur en font un test physique imparable. Attention à la fiabilité moteur. Concernant les pneumatiques, les paraboliques aux premier et dernier virages entraînent une usure excessive à l'avant gauche.
Particularité : c'est l'épreuve d'adoption des Finlandais, qui s'y massent en raison de sa proximité.
70 tours x 4.381 km = 306.630 km
Record du tour : Record du tour : 1:19.071 - M Schumacher (2004)
Record du tour : Record du tour : 1:19.071 - M Schumacher (2004)
- Données techniques :
Plein régime : 56,1% du tour
Freinage : 21% du tour
Force G la plus importante : 3,1 dans le virage 11, pendant 2,6 secondes
Vmax : 300 km/h
Vitesse la plus haute en virage : 220 km/h au virage 10
Vitesse la plus faible en virage : 80 km/h
Changements de vitesse par tour : 59
Distance entre la grille de départ et le premier virage : 500 m
Effet du carburant : 0,41 s au tour par tranche de 10 kg
Consommation du carburant : 2,03 kg par tour
- Le circuit du Hungaroring côté moteur :
La puissance absolue délivrée par le moteur n’est pas une caractéristique déterminante en Hongrie, puisque le circuit propose une vitesse moyenne assez faible, autour de 182 km/h. Seules la ligne droite d’arrivée et la portion de 790 mètres comprise entre les virages 3 et 4 permettent à la mécanique de s’exprimer à plein régime. Il n’est sollicité à pleine charge que sur 55 % du tracé, à peu près comme à Singapour.
Ces dernières années, la température moyenne à Budapest était d’environ 26°C. Les ingénieurs doivent donc mettre l’accent sur le refroidissement du moteur. Cette caractéristique est renforcée par la nature de la piste, qui ne laisse que peu d’occasions au V8 de « souffler ».
La partie la plus sinueuse du circuit est le deuxième secteur, où les monoplaces ne dépassent jamais les 245 km/h. Le plus souvent négociés en troisième, les virages semblent être imbriqués les uns dans les autres, le n°5 étant toutefois assez long. Ne pas être à fond sur l’accélérateur est une bonne chose dans cette portion, car les nombreuses bosses influent sur l’équilibre de la voiture.
- L'an dernier, au Nürburgring :
Qualifications :
A venir.
Course :
A venir.
A venir.
Course :
A venir.
- Présentation du GP 2012 :
Le Grand Prix de Hongrie se présente comme la dernière épreuve avant la traditionnelle pause estivale accordée et imposée aux équipes engagées au Championnat du Monde de Formule 1 FIA. La course se tiendra sur le Hungaroring, aux alentours de Budapest, pour une des manches les plus populaires de l’année. Surnommé « le tourniquet hongrois », ce circuit est long de 4,381 km. Il est généralement comparé à une piste de karting, avec un virage serré enchaînant sur un autre. C’est, après Monaco, le deuxième tracé le plus lent de la saison. Les motoristes doivent donc proposer des V8 efficaces et souples à bas régime.
Les moteurs Renault ont souvent bien réussi en Hongrie. L’équipe Williams-Renault s’y est imposée à cinq reprises dans les années 1990, alors que Fernando Alonso y a glané son premier succès en F1, en 2003, avec le Renault F1 Team. Pour finir, Mark Webber y a triomphé avec Red Bull Racing en 2010. Mais ce Grand Prix de Hongrie 2012 marque également les 20 ans du premier titre mondial de Williams Renault ; c’est sur ce circuit que Nigel Mansell avait assuré sa couronne en 1992.
.:: Rémi Taffin ::.
"Après l’un des circuits les plus rapides de l’année, nous retrouvons l’un des plus lents. La nature sinueuse des virages et le peu de lignes droites entre ceux-ci font que la puissance maximale n’est pas le but principal. En revanche, il faut fournir un moteur capable de bien répondre à bas régime, pour que le pilote bénéficie d’une bonne adhérence mécanique et d’une stabilité du train arrière optimale au freinage. Nous devons également raccourcir les rapports de boite pour apporter de la souplesse lors des accélérations."
"Le Hungaroring, fait de gros freinages et de phases de reprises, fait que la consommation d’essence est très élevée. Le chargement initial en carburant est donc important. Cette saison, l’usure des pneumatiques peut avoir une grande influence sur la consommation. C’est quelque chose que nous allons surveiller attentivement en fin de course pour éviter qu’un pilote ne termine avec trop peu de carburant, ou qu’il ne tombe en panne."
"Généralement, il fait très chaud à cette période de l’année même si, cette année, la pluie semble nous suivre de près ! La nature du tracé ne permet pas un refroidissement optimal du moteur, alors que les températures attendues en Europe Centrale exigeraient au contraire une meilleure efficacité dans ce domaine. De plus, le haut niveau d’appuis aérodynamiques nécessaire n’autorise pas l’ajout d’appendices pour refroidir davantage le V8. Nous préparons donc ce rendez-vous dans notre usine de Viry en travaillant spécifiquement au banc d’essai le fonctionnement à bas régime avec des températures élevées."
"C’est un vrai challenge que d’aborder ce Grand Prix de la façon la plus juste techniquement, ce n’est pas une fin de première partie de saison tranquille qui s’annonce !"
- Red Bull Racing
A venir.
- Lotus F1 Team
.:: Kimi Räikkönen ::.
Vous êtes maintenant quatrième au classement des pilotes, pas loin de ceux qui vous précèdent. Jusqu’où pouvez-vous monter ?
Si vous m’aviez dit en janvier que je serais quatrième à mi-championnat, j’en aurais été très heureux. Ce n’est pas une mauvaise place, mais je pense que la voiture nous aurait permis de marquer encore plus de points. Je veux gagner et l’équipe fournit des efforts extraordinaires pour y arriver. Alors nous verrons ce que nous pourrons faire dans la seconde moitié de la saison…
Comment vous sentez-vous avant la Hongrie ?
C’est toujours agréable de venir en Hongrie. Le circuit n’est pas un des plus difficiles, mais il propose quand même quelques challenges. C’est aussi la dernière course avant les vacances d’été et c’est une belle ville pour terminer la première partie de la saison. C’est toujours un plaisir de prendre des vacances l’été et de recharger les batteries, avant la dernière et la plus importante partie de la saison.
Comment jugez-vous vos performances passées au Hungaroring ?
J’y ai remporté une victoire et j’ai fini trois fois deuxième. C’est une course très exigeante qui se dispute dans la chaleur. Il n’y a que la victoire pour vous faire oublier la souffrance au Hungaroring J’espère que je ne souffrirai pas cette fois.
Etes-vous heureux d’avoir récupéré un podium après votre performance en Allemagne ?
Un podium est toujours agréable, mais, évidemment, j’aurais préféré l’obtenir en piste. Cela dit, je pense que je ne pouvais pas faire mieux aujourd’hui en partant de cette position. Si j’avais pu trouver plus de performance sur le mouillé hier, en qualifications, j’aurais peut-être pu partir de plus haut, éviter le trafic et attaquer les leaders. Mais c’est ainsi. Bien entendu, nous espérions mieux, mais la voiture était une nouvelle fois excellente en course et je ramène une bonne poignée de points pour l’équipe. Alors il y a du positif avant Budapest.
Comment estimez-vous le potentiel de l’équipe avant cette épreuve ?
L’équipe a énormément travaillé pour développer la voiture et nous sommes confiants dans sa compétitivité en Hongrie. Habituellement, il fait très chaud lors du week-end en Hongrie et c’est ce que nous attendons avec impatience cet été. Ce n’est jamais un plaisir de répondre aux médias après une course sans victoire. J’adore gagner, mais pas expliquer pourquoi nous n’avons pas pu gagner. ‘espère que nous pourrons obtenir le résultat que nous visons.
Quelles sont les difficultés particulières de ce circuit ?
Il est tellement lent et sinueux que deux aspects prennent une part prépondérante pour faire des tours rapides : une bonne maniabilité pour les virages et une bonne motricité. Si vous avez les deux, votre voiture est compétitive.
Le circuit est étroit et sinueux. Quelle est l’importance des qualifications ?
C’est un circuit où il est très difficile de dépasser. Evidemment, il faut être devant en qualifications et il faut aussi essayer d’éviter la parie sale de la piste sur la grille. Nous n’avons pas été les meilleurs en qualifications cette année, mais nous sommes bons en course dans des conditions chaudes et nous pouvons appliquer différentes stratégies. Ce ne sera pas la fin du monde si nous je ne me qualifie pas en première ligne, mais cela me compliquera la tâche. Nous verrons bien.
Le Grand Prix de Hongrie est aussi appelé GP de Finlande parce que beaucoup de vos compatriotes y viennent. Quelle importance cela a-t-il pour vous ?
C’est toujours agréable de voir des drapeaux bleu et blanc s’agiter. Pour nous, pilotes finlandais, c’est la course la plus proche de chez nous et beaucoup de Finlandais viennent y assister. J’espère que je pourrai fêter cela et leur offrir une victoire.
.:: Romain Grosjean ::.
Quelle est la clé d’un bon résultat en Hongrie ce week-end ?
L’histoire est connue : il nous faut réussir de bonnes qualifications. Des nouveautés vont être montées sur la voiture et je suis sûr que je serai mieux que lors de la dernière course. Nous devrions avoir de la chaleur et, je l’espère, du soleil, ce qui conviendra mieux à notre voiture que le froid que nous avons enduré récemment. Ce sera certainement mieux que le froid et la pluie ! Le Hungaroring est un circuit que j’aime bien et où j’ai de bons souvenirs. Peut-être que mon passé ici m’aidera à faire un bon week-end. Ce qui m’aiderait aussi serait un week-end avec toutes les séances sur le sec pour pouvoir travailler de manière efficace du début à la fin.
Que vous est-il arrivé à Hockenheim ?
Le week-end a été difficile, surtout les qualifications et la course. Je n’ai pas réussi à trouver la performance en qualifications et nous essayons toujours de comprendre pourquoi. Ma voiture était très difficile à conduire sur le mouillé et la pluie redoublait quand j’essayais d’améliorer mes temps en qualifications. Par-dessus le marché, je devais subir une pénalité de cinq places pour le changement de ma boite de vitesse. Ensuite, en course, le premier tour a été pas mal chahuté et j’ai été accroché par une autre voiture. C’était peut-être la malchance, mais de toute façon, je sais que je dois progresser sur mon premier tour. J’y travaille parce que c’est dommage d’avoir une voiture aussi rapide et que ma course soit terminée au bout de deux minutes. En Allemagne, il a fallu changer mon aileron avant et la crevaison a fait des dégâts sur le soubassement. Il était ensuite très difficile de finir la course en se trouvant isolé et de maintenir un bon rythme. Il y a des courses où tout va de travers, c’en était une. J’espère que la chance va tourner et que tout ira mieux à Budapest.
Aviez-vous déjà fait un tour en course avec un pneu crevé ?
Non. C’était la première fois et je peux l’ajouter à mon expérience. C’est difficile de savoir jusqu’à quelle vitesse vous pouvez rouler et vous ne pouvez pas voir les dégâts sur la carrosserie. Ce n’est pas une expérience agréable. C’est beaucoup mieux de rouler avec une voiture en bonne santé !
Vous deviez continuer à attaquer au cas où il y aurait eu une possibilité de marquer des points. Cela forge le caractère, non ?
C’était très difficile. La voiture ne marchait pas bien, mais c’était logique compte tenu des dommages subis. J’espère ne jamais me retrouver dans cette situation. La voiture était déséquilibrée, imprévisible et inefficace. Tout ce dont vous ne voulez pas !
Quelle est votre expérience sur le Hungaroring ?
J’y ai réalisé ma première pole position en GP2, en 2008 L’an dernier, j’ai remporté une victoire et terminé troisième, ce qui était plutôt un bon week-end. Je vais en Hongrie avec une attitude positive.
Comment vous sentez-vous après la première moitié de la saison ?
Tout n’a pas été facile jusque-là. J’ai obtenu de bons résultats, mais j’ai fait aussi de très mauvaises courses. La dernière était une de mes pires. Alors il faut travailler, analyser et essayer de comprendre pour ne plus commettre d’erreurs. Se tenir à l’écart des ennuis et mieux se qualifier, ce sont les clés. A partir de là, je pourrai avancer.
Qu’avez-vous prévu pour les vacances d’août après la Hongrie ?
Je vais faire mon voyage de noces, alors ce sera un bon mois. J’espère pouvoir partir en vacances avec en cadeau un beau podium au Grand Prix de Hongrie.
.:: Éric Boullier ::.
L’équipe vient de perdre sa troisième place au championnat des constructeurs. Peut-elle la reprendre dans la seconde partie de la saison ?
Bien sûr, c’est décevant de perdre la troisième place. Mais les écarts sont très, très faibles et par ailleurs, nous avons construit une belle avance sur le cinquième. Mais nous avons faim de victoire et nous en voulons plus. Si nous pouvons continuer à apporter des évolutions et des développements et à les faire marcher, alors nous pourrons défendre notre position. Je ne sais pas si ce sera troisième ou quatrième à la fin de l’année, c’est tellement serré. Mais je suis convaincu que nous serons en lutte pour une des premières places du championnat des constructeurs.
Comment jugez-vous la performance de l’équipe en Allemagne ?
Kimi a effectué une belle remontée après ses soucis en qualifications. Il a mené une course réunissant l’attaque et l’expérience, avec l’aide d’une bonne stratégie définie par l’équipe. Partant des dixièmes et dix-neuvièmes places, notre tâche était, de toute façon, ardue. Alors c’était bien de voir Kimi marquer de gros points grâce à une très solide performance. En allant plus loin, ce que nous avons à faire pour obtenir de meilleurs résultats est clair. N’importe quel spectateur de la F1 peut le dire : nous devons mieux nous qualifier. Si nous voulons gagner des courses, il nous faut être dans les quatre ou cinq premiers sur la grille.
Le week-end de Romain a été difficile. Ses performances en course semblent souffler le chaud ou le froid…
Nous avons tous assisté à ses très bons week-ends, mais aussi à certains autres week-ends où les résultats ne convenaient ni à Romain ni à personne dans l’équipe. Cela implique que nous devons faire en sorte que ses week-ends soient solides même si les circonstances sont défavorables, comme le fait de partir en fond de grille. Il continue à apprendre. Il n’en est qu’à sa première année complète. Mais nous savons tous qu’il peut très bien faire et nous sommes derrière lui pour qu’il réalise régulièrement des performances solides. Cela inclut de passer le premier virage sans encombre, ce qui est, évidemment, très important.
Un manque de performance sous la pluie a pénalisé l’équipe en qualifications. Est-ce nouveau ?
Nous n’avions pas vraiment noté cela auparavant et j’espère que nous ne le reverrons pas ! Nous devons analyser dans le détail ce qui s’est produit. La température était très basse et les averses étaient courtes et violentes. Nous étudions cela et nous allons y remédier si cette situation doit se reproduire.
Votre line-up de pilotes avait été considéré comme audacieux en début de saison. Comment jugez-vous leurs prestations au milieu de l’exercice ?
Franchement, je ne vois pas grand-chose dans la colonne moins pour Kimi. Il est revenu très rapidement à son niveau et je ne serai pas surpris de le voir gagner très bientôt. Romain est toujours en construction. Même s’il avait fait sept courses il y a deux ans, il n’avait jamais eu la possibilité de mûrir. Alors, pour moi, il est encore dans sa première année. Il commet des erreurs, bien sûr, parce qu’il est jeune. Mais la bonne nouvelle, c’est qu’il ne répète jamais la même erreur. Il écoute, il apprend et il est plus fort de course en course.
Quel peut être l’objectif des dix prochaines courses ?
Sur le papier, avec l’expérience des dix premières, je dirais que nous devrions être capables de marquer plus de points dans la seconde demi-saison. Ce qui serait bon pour le championnat.
A quel point être vous plus heureux que l’an dernier à ce stade de la saison ?
Enormément. Si je dois donner un chiffre, je dirai 1000% !
.:: James Allison ::.
Le Hungaroring devrait-il convenir à la E20 ?
Si les dix premières courses sont un indicateur, alors nous serons compétitifs en Hongrie. C’est un peu un record, mais pour que nous concrétisions les promesses que nous savons là, il nous faut nous qualifier sur une des deux premières lignes. C’est encore plus important sur le tracé sinueux du Hungaroring.
Traditionnellement, cette piste évolue beaucoup. Cela rend-il difficile d’évaluer la performance des pneus et la stratégie, surtout avec ces pneus indéchiffrables ?
Cela ajoute des ombres sur la vision des ingénieurs et des stratèges. Mais nous avons des années d’expérience ici, aussi ce ne sera pas trop méchant. Pas pire qu’à Monaco, par exemple.
Verrons-nous de nouveaux appendices sur la voiture et qu’avez-vous appris des essais en Allemagne ?
Nous allons continuer à mettre à l’épreuve le nouvel élément testé à Hockenheim avec Kimi. Malgré les conditions climatiques difficiles, nous avons senti un bon potentiel au cours des essais libres et nous chercherons à franchir une étape au Hungaroring.
Nous arrivons à la pause estivale. Combien de développements avez-vous encore en réserve pour la seconde moitié de la saison ?
La deuxième moitié de la saison marque un ralentissement dans la course au développement pour les usines, parce que les équipes commencent à porter leurs efforts sur la voiture de l’année prochaine. Nous devons aussi produire un package spécial Monza à faible appui. Cela dit, il y a beaucoup de choses dans les tuyaux pour la E20. Quelques-unes offrent des gains en soufflerie déjà concrets et d’autres font partie de programmes qui vont être menés. Je suis confiant dans notre capacité à défendre notre place lors de la deuxième demi-saison.
Comment jugez-vous la performance de l’équipe à Hockenheim ?
Le fait que nous soyons déçus d’une belle quatrième place à partir d’une dixième position sur la grille montre combien l’équipe a avancé cette année. Néanmoins, nous espérions mieux à Hockenheim et nous sommes impatients de trouver l’opportunité de nous refaire en Hongrie.
Quelle a été l’influence de la pluie sur les qualifications en Allemagne ? Nous semblions souffrir plus que les autres. Cela peut-il se reproduire ?
Cette année, nous avons été assez corrects sous la pluie. Par exemple, notre performance à Hockenheim en libres 2 sur le mouillé était estimable. Mais pour une raison quelconque, la voiture s’est révélée nulle sous la pluie en qualifications. Sur le coup, cela nous a mystifiés et c’est encore le cas. Trouver ce qui a causé la perte de performance de la E20 sous la pluie samedi, figure, évidemment, sur notre liste de tâches.
- Williams F1 Team
A venir.
- Caterham F1 Team
A venir.
- Les horaires :
Vendredi 27 juillet
Essais L1 : 10h à 11h30
Essais L2 : 14h à 15h30
Samedi 28 juillet
Essais L3 : 11h à 12h
Qualification : 14h
Dimanche 29 juillet
Course : départ à 14h - La météo :
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