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F1i.com
Renault va se donner les moyens de ses ambitions pour son retour en F1 en tant que concurrent à part entière.
Renault Sport F1, la nouvelle équipe engagée par Renault en F1, pourra compter sur un budget conséquent.
"Nous allons dépenser environ 300 millions d’euros en rythme annuel", révèle Jérôme Stoll, le patron performance du groupe.
Renault mise sur la F1 pour lui permettre d’exister dans l’esprit des consommateurs et porter ainsi les ventes de ses voitures.
"Pour mesurer la rentabilité, il faut comparer le coût de la F1 avec le coût que l’on aurait investi en marketing et communication pour se faire connaître dans les pays que nous visons", précise Carlos Ghosn, le patron de la marque française.
Renault souffre en effet de visibilité en Chine, en Amérique du Sud et au Moyen-Orient. Trois régions visitées chaque année par la Formule 1.
Sgrud a écrit:Ocon/Alonso et une F1 qui avance pour 2017 !!! Je signe tout de suite !!!
buster a écrit:Sgrud a écrit:Ocon/Alonso et une F1 qui avance pour 2017 !!! Je signe tout de suite !!!
Alonso, je ne suis pas forcément pour.
Compte tenu :
- qu'il va falloir 4 à 5 ans pour jouer les titres mondiaux
- qu'Alonso a 34 ans
- qu'un pilote comme Alonso laissera des traces en cas de départ (cf. 2007 et 2010)
↪️ Je pense vaut mieux préparer l'avenir en formant un Esteban Ocon qu'en recrutant à prix d'or un Fernando Alonso.
F1i
L’équipe d'Enstone reconnaît qu'elle a dû faire des compromis avec sa monoplace de cette année, la Renault Sport RS16, à l’époque où elle n’avait pas encore été rachetée par le constructeur français.
N’ayant eu la confirmation définitive du passage au groupe propulseur Renault pour 2016 que très tardivement, l’équipe de conception n’a pas eu suffisamment de temps pour optimiser l’intégration du V6 turbo hybride français au châssis élaboré à Enstone.
La Renault Sport RS16 de cette année sera du coup davantage une copie de la Lotus E23 de l’an dernier qu’une vraie évolution.
"Ce fut très compliqué", avoue le directeur technique châssis de Renault Sport, Nick Chester, à Autosport.
"En temps normal, une fois que nous sommes en mai, cela devient déjà très difficile d’intégrer un nouveau groupe propulseur au châssis. Ici, jusqu’à la fin de l’année nous ne savions pas vraiment quel moteur nous allions avoir pour 2016, cela fut donc très difficile, comme vous pouvez l’imaginer."
"Nous avons dû changer l’arrière du châssis ainsi que le système de refroidissement, et faire tout ça en seulement un mois de temps, cela demande une énorme quantité de travail !"
"La voiture ne sera donc pas aussi optimisée que nous l’aurions aimé. Nous n’avons pas pris de gros compromis, mais nous n’avons pas non plus eu suffisamment de temps pour optimiser notre monoplace comme nous l’aurions souhaité", conclut-il.
Cette nouvelle RS16 effectuera ses débuts en piste lundi prochain au Circuit de Catalunya, en Espagne.
http://www.f1i.com/infos/la-renault-rs1 ... compromis/
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