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C'est ce que j'ai compris aussi (contrairement à ce qu'a traduit ESPN) : Infinity Racing va aider à en trouver un sponsor titre de part son carnet d'adresses, ce qui devrait arriver rapidement qu'il dit."We will be deeply involved in helping to raise the sponsorship revenues by bringing title sponsors to the team – that will happen pretty quickly – and we will bring some significant players to the game."
One of the key factors that will help Lotus pick the best talent available, rather than the best-funded drivers, is the financial boost that is expected to come from a link-up with new investors Infinity Racing.
Lopez said that discussions with the group were ongoing, although the deal had not yet been completed.
"It is progressing onwards; it also sits with us," he said. "We issued a statement because we had to; our group is a well-known group and we cannot just let things slip out.
"It is progressing and it is partially up to us to decide how we move forward."
A prendre avec des pincettes :
Selon motorsport total, l'équipe Lotus a une dette de 120 millions d'euros. L'article dit même que Kimi avait menacé de ne pas participer aux essais hivernaux s'il n'était pas payé. Il n'a pas touché l'entièreté des 18 millions de primes de 2012. Kimi en aurait parlé à Bernie.
Le deal avec Honeywell ne s'est jamais matérialisé et celui avec Infinity n'est tjrs pas réglé.
Le départ de James Allison serait lié à ces problèmes financiers. Par ailleurs, certains collègues d'Allison auraient menacé de faire grève fin juillet suite à des retards de salaires.
Emaar Properties PJSC, présent sur le marché financier de Dubaï, est un promoteur mondial ayant une présence importante au Moyen-Orient, en Afrique du nord et en Asie. Procurant des styles de vie haut de gamme à travers son portefeuille d’envergure mondiale réunissant diverses communautés, la compagnie a aussi prouvé ses compétences dans le domaine des centres commerciaux, de l’hospitalité et du loisir. Le Burj Khalifa, tour la plus haute du monde et le Dubaï Mall, font partie des grandes réussites d’Emaar.
Emaar travaille actuellement à l’extension de l’avenue de la mode du Dubaï Mall sur 90000 m² supplémentaires et aussi à redéfinir la scène culturelle de la ville avec le quartier de l’Opéra au centre de Dubaï où figurera le premier Opéra de la ville, ainsi que plusieurs galeries de design. La compagnie est également partenaire de la mise en œuvre de la Mohammed Bin Rashid City (MBR City), avec Dubai Hills Estate, première phase de la MBR City, développée en joint-venture avec Meraas Holding.
Parmi les autres méga projets d’Emaar figure la cité économique King Abdullah en Arabie Saoudite, plus grand projet mené par le secteur privé dans la région. Emaar est aussi le plus grand investisseur étranger dans l’immobilier en Inde et son joint-venture a une présence nationale couvrant les secteurs résidentiel, commercial, de détail et d’hospitalité.
"Si nous voulons continuer à nous battre aux avant-postes, c’est notre unique chance de survie", déclare l’homme d’affaires luxembourgeois dans le dernier numéro du magazine Auto Hebdo.
"Nous ne pourrons pas tenir longtemps ce rôle de 'Zorro le vengeur masqué'. Obtenir les résultats que nous avons avec notre budget relève du miracle, et d’une sacrée 'débrouille'. On fait peut-être peu, sans l’aide de qui que ce soit, mais on le fait bien. Bravo à Eric Boullier (le team principal, ndlr) et son équipe."
"Mais, à un moment donné, il y en a marre de devoir se battre contre beaucoup plus armé que soi, de se lever chaque matin en se demandant ce qu’il faut inventer pour rester au contact des top teams. Et je parle d’une bagarre qui ne se déroule pas que sur les circuits…"
Lopez confirme que le scénario idéal pour Lotus serait un rapprochement avec Renault, à qui Genii Capital a racheté l’équipe d’Enstone fin 2009.
"L’idéal serait de s’adosser à quelqu’un qui représente le poids 'moteur', donc un constructeur. Ce poids est politiquement important, pour la F1, pour les commanditaires, les investisseurs", reconnaît-il.
Lopez ajoute être disposé à changer le nom de son écurie en Renault si nécessaire. Le constructeur Lotus ne sponsorise de toute façon plus le Lotus F1 Team.
F1 - Boullier : Priorité aux accords commerciaux avant le choix du pilote
Le Français poursuit les négociations
10 octobre 2013 - 14h22, par Olivier Ferret
Eric Boullier a de nouveau confirmé dans le paddock de Suzuka aujourd’hui que Nico Hulkenberg et Felipe Massa étaient les deux favoris pour le baquet à prendre chez Lotus, suite au départ de Kimi Raikkonen chez Ferrari. Mais avant de penser aux pilotes, Boullier souhaite que Lotus et Genii bouclent les accords commerciaux en cours de discussion.
"Hulkenberg et Massa sont les deux pilotes que nous nous devons de considérer à cause de leur expérience et de leur profil. Mais tout d’abord nous voulons finaliser notre accord avec Infinity Racing puisque c’est cet accord qui nous permettra de franchir la prochaine étape," déclare Boullier.
Le patron de Lotus révèle également qu’un "gros sponsor est aussi en cours de discussion, nous y sommes presque. Une fois que tout cela sera réglé, nous pourrons nous permettre de prendre le pilote que nous voulons. Cela pourrait être demain, la semaine prochaine... Je ne signerais pas Nico si nous ne pouvions nous le permettre."
Est-ce à dire qu’un pilote apportant du budget (comme Massa ou Maldonado) pourrait être considéré en cas d’échec ?
"Ce n’est pas la route que nous suivons," répond Boullier. "Nous sommes là pour courir au plus haut niveau et c’est l’ambition de l’équipe et de ses propriétaires. Nous ne pouvons pas que nous reposer sur Nico, mais il fait partie des pilotes que nous chassons, oui."
Qu’en est-il de Renault ? "Le contrat est prêt à être signé, c’est le même que celui de Red Bull. Nous discutons de la possibilité d’aller plus loin dans le branding. J’attends un petit peu pour être certain d’avoir étudié toutes les options."
En attendant que l’argent frais arrive, Boullier n’a-t-il pas peur que d’autres ingénieurs s’en aillent ? "Certaines personnes sont nerveuses et des CV circulent dans le paddock, j’en suis certain," admet-il. "Mais en même temps je tiens tout le monde informé à l’usine, presque chaque semaine. Ils savent exactement où nous en sommes et que je ne mens pas. J’attends des faits maintenant pour pouvoir faire la grosse annonce."
Lotus F1 investor Infinity Racing Partners has changed its name to avoid the unfortunate clash with Infiniti Red Bull Racing.
http://adamcooperf1.com/2013/10/13/lotus-investor-infinity-changes-name-to-quantum/
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